Inception, la bande annonce
Ne me dites pas que cela ne vous tente pas.
Gamer / Ultimate Game
Le résumé
Dans un futur proche, les nouvelles technologies ont fait évoluer le jeu vidéo. Le principe créé pour le jeu « Les Sims » est appliqué à des êtres humains qui sont manipulés par des joueurs en ligne.
Le milliardaire Ken Castle a créé le divertissement ultime : « Slayers », un jeu vidéo dans lequel des condamnés à mort, guidés à distance par des joueurs en ligne, s'entretuent lors de combats diffusés sur les écrans du monde entier.
S'ils survivent à 30 épreuves, ils retrouveront leur liberté.
Kable, téléguidé par Simon, un ado fan de réalités virtuelles est aujourd'hui la star du jeu. Mais Kable ne s'appartient pas : arraché à sa famille, emprisonné et forcé à combattre contre sa volonté, ce gladiateur des temps modernes doit survivre assez longtemps pour s'échapper du jeu et regagner sa liberté... (via Allociné)
Pour un avis
Mark Neveldine et Brian Taylor exploitent le jeu de la référence (Running Man n’est pas très loin) en explorant le thème du jeu vidéo et de son rapport à différentes formes de violence, dans une série B... particulièrement violente. S’il est aisé de leur reprocher de ne pas transcender leur propos en liant plus encore le fond et la forme, le film touche quand même juste quand, au détour d’une scène ou deux, il parvient à poser des questions morales aussi simples qu’essentielles.
L’échec du film tient à son scénario, quand l’angoisse de la marionnette n’est qu’effleurée. La problématique est au cœur du sujet mais n’est réellement abordée que par la bande. Dommage. Pas facile d’affronter la peur d’une poupée Pat quand il y a encore trois scènes de ratatapanpan à filmer.
En attendant - impatiemment - le film qui parviendra à être le Fight Club de la génération Second Life et Warcraft...
En ce mois d'octobre
Alors, en vrac :
- La compagnie Halcyon est dans le rouge et cherche à vendre ses droits de la licence Terminator. Je vous rappelle que ce sont eux qui possèdent un droit de regard sur toutes les adaptations cinématographiques des romans de Philip K. Dick.
- Un très bel article de Jonathan Lethem sur Dick "Crazy friend".
- Une lettre du 11 octobre 1981 où Dick parle de Blade Runner.
- La mini série du Prisonnier va être diffusée à partir du 15 novembre aux États-Unis.
En ce mois de septembre
Je vous ai négligé un peu, il est vrai, mais j'étais particulièrement pris par des travaux autres qui... enfin, bon, bref, je n'avais pas le temps pour faire ce qui devait être fait.
Donc au boulot.
En ce mois de juillet
- Nous avons évoqué la vente aux enchères de la Dark Haired Girl ;
- Nous avons parlé cinéma : Purefold reprend Blade Runner, sur le net, Total Recall a un scénariste, Radio Free Albemuth se dévoile un peu plus...
- Nous avons aussi regardé la bande annonce du remake du Prisonnier.
Note : je vous rappelle que le site est archivé mensuellement et que les articles précédents sont consultables grâce au menu de droite.
De plus vous pouvez suivre l’actualité de ce site grâce à son flux RSS, Facebook ou encore Twitter.
Meilleurs voeux
Voilà que 2009 commence.
Nous allons sûrement avoir, plus l’année avancera, une actualité dickienne particulièrement chargée. Entre Ubik , King of the Elves et The Owl in Daylight qui devraient entrer en production et Radio Free Albemuth qui devrait sortir un de ces jours, nous aurons de quoi nous tenir occupés.
Nous aurons encore certainement aussi de nombreux textes à lire et à relire.
Alors laissez-moi vous adresser mes meilleurs vœux !
Sleep Dealer
Los Cronocrimenes - Timecrime
Los Cronocrímenes nous permet de retrouver Karra Elejalde (déjà vu dans Action mutante de Alex de la Iglesia), Candela Fernandez, Bárbara Goenaga et Nacho Vigalondo lui-même dans le rôle d’un scientifique dépassé par les événements.
Un homme fait accidentellement un voyage dans le temps et se retrouve confronté à lui-même une heure auparavant. En cherchant à tout prix à réparer cette erreur et à revenir au présent, il va déclencher sans le vouloir une série de désastres irréparables...
Timothy Sexton, le scénariste des Fils de l'homme travaille sur le remake U.S., David Cronenberg est pressenti pour le réaliser.
Voir le site officiel, IMDB, le résumé provient de Allociné.
Utopiales & réseaux
Si la programmation définitive n’est pas encore connue, une partie de la rétrospective cinématographique a été annoncée.
Quelques films dickiens ont retenu mon attention, avec le particulièrement remarquable Nirvana de Gabriele Salvatores, avec Christophe Lambert. Vous en souvenez-vous ?
Le site officiel du festival.
Le retour du Prisonnier
Alors bien sûr, quand je découvre cela, je suis tout chose. Pour tout vous dire, à dix-neuf ans, je travaillais tout un été pour me rendre quelques jours à Portmeirion !
Je demande comment il est possible de s’attaquer à un tel chef-d’œuvre sans tomber dans la redite ou la citation vaine. Refaire Le Prisonnier aujourd’hui me semble incongru. La série originale tire sa force dans le dépassement du cadre qui l’a vu naître. Les 60s. La Guerre Froide. Les mouvements contestataires. Ainsi le héros sans identité devait définir son ennemi non plus en termes d’Est et Ouest ; la peur de la perte de soi prenait alors un tout autre sens qu’une invasion communiste. Cela débouchait - dans un retournement narratif magistral - sur une interrogation sur la nature même de l’homme occidental moderne en tant qu’être social.
La série fut un échec commercial absolu, un OVNI télévisuel qui cristallisait toute la rage créative de Patrick McGoohan. Et qui, comme toutes les œuvres majeures dépassait les intentions initiales de son créateur.
Et ils veulent faire en faire la suite ? J’ai bien peur que cela ne soit que du Lost matiné de X-Files.
En attendant, nous avons une belle édition en DVD : Le prisonnier : l'intégrale .
(source)
Sur le même sujet, lire :
- Seek the Six
- Les vidéos promotionnelles de la série.
- Nos nouvelles sur le Prisonnier
Dark City - le contenu du DVD BluRay
En l'état, cela fait particulièrement envie.
* All New Director’s Cut and Original Theatrical Cut of the film
* 1080P 2.35:1 Widescreen
* English 7.1 DTS-HD Master Audio
* English SDH and Spanish subtitles
* Documentaries: Introduction by Alex Proyas, Memories of Shell Beach (Making Of), Architecture of Dreams
* Production Gallery
* Text Essays
* Neil Gaiman Review of Dark City
* Director’s Cut Fact Track
* Theatrical Trailer
* Multiple Audio Commentary tracks featuring director Alex Proyas, writers Lem Dobbs and David S. Goyer, director of photography Dariusz Wolski, production designer Patrick Tatopoulos and film critic Roger Ebert
Le film n’est actuellement disponible qu’en import (attention, il n’est pas sous-titré en français): ou encore chez amazon.com.
Sur le même sujet lire :
- Tout sur le DVD de Dark City (Bluray - zone 1)
- Dark City sur dickien.fr
Dimension Philip K. Dick
L'anthologie est dirigée par Richard Comballot.
Son titre est Dimension Philip K. Dick.
Son prix est de 17 € (+3 € pour les frais de port, paiement par chèque ou Paypal).
Voici le sommaire :
• Bruno LECIGNE / Le Dieu venu du néant
• Jean-Pierre HUBERT / Substance 82
• Pierre STOLZE / Glissement de temps sur Manhattan
• Daniel WALTHER / Les Oubliettes du Haut-Château
• Xavier MAUMÉJEAN / Mauvaises nouvelles d’avant-demain
• Richard CANAL / Les Clones rêvent-ils de Dolly ?
• Alain DARTEVELLE / Fictif K. Dick
• Laurent QUEYSSI / 707, Hacienda Way
• Jean-Pierre VERNAY / Parce que mon Nom est légion
• Philippe CURVAL / Malédicktion
• Johan HELIOT / La dernière Valse de Philip K.
• Alain DARTEVELLE / La Déesse venue du froid
• Ugo BELLAGAMBA / Ils ne construisent que la partie du monde dont ils ont besoin...
• Jacques BARBÉRI / Les Amants du paradis artificiel
À noter que la nouvelle de Johan Heliot est disponible gratuitement.
Dark City - Director's cut
Bien sûr rien ne filtre sur le contenu réel de la galette : plusieurs versions du film ? participation des acteurs ? d'Alex Proyas ? des scènes inédites ?
J'ai une furieuse envie de revoir (encore) ce film !
(source)
Mise à jour : Voilà ce que dit thedigitalbits.com :
New Line (via Warner) is releasing a Dark City: Director's Cut on DVD and Blu-ray Disc on 7/29 (SRP $19.97 and $34.99). According to the studio's press information, both discs will feature "enhanced picture and sound, never-before-seen footage and three commentary tracks that take you deeper than ever before into the world of one of sci-fis most exciting and revered tales." The Blu-ray will be a BD-50 disc, but we don't know what the audio format will be yet. Director Alex Proyas' new cut of the film runs 111 minutes (the original version was 96 minutes).
Le film n’est actuellement disponible qu’en import (attention, il n’est pas sous-titré en français): ou encore chez amazon.com. Sur le même sujet lire :
- Tout sur le DVD de Dark City (Bluray - zone 1)
- Dark City sur dickien.fr
Dark City
Sur le même sujet lire :
- Tout sur le DVD de Dark City (Bluray - zone 1)
- Dark City sur dickien.fr
Coulez mes larmes - Southland Tales
Oui, Southland Tales est un film en partie raté.
Oui, Southland Tales est dickien jusqu'au plus infime bout de pellicule.
Certes on doit attendre une hypothétique sortie DVD pour découvrir le métrage dans son premier montage. En attendant nous avons ce film composite qui oscille entre des moments étonnants car presque grotesques et des passages marqués par une belle émotion. Mieux. Le film est une véritable proposition cinématographique, tentant d'intégrer le rapport à l'image du spectateur à la matière même de son scénario. (Je suis confus, n'est-ce pas? Mais c'est que je ne veux pas raconter outre mesure ce qui est avant tout une expérience individuelle... Disons pour prendre un exemple simple que la présence et le rôle du narrateur m'interrogent.)
Oui, il s'agit d'un film intelligent. Ce qui ne signifie pas automatiquement qu'il soit réussi, mais qu'il a le mérite de ne pas laisser indifférent.
D'ailleurs j'en viens même à me demander s'il n'est pas trop intelligent, ou s'il n'a pas trop voulu l'être. En un mot, si son réalisateur, Richard Kelly, n'est pas victime de la multitude de ses ambitions.
Regardez : outre ses racines littéraires, ses multiples références, le film est le prolongement d'une bande dessinée. Sa lecture est essentielle pour comprendre toute l'intrigue (et renforce l'humour de bien des passages). Si cela ne suffit pas, son casting est improbable, alliant star de films d'action (Dwayne 'The Rock' Johnson), vedette de série TV (Sarah Michelle Gellar) et popstar (Justin Timberlake). Et pourtant cela fonctionne. Mais pour combien de spectateurs ?
Un dernier mot pour vous convaincre : un film qui présente un policier qui s'exclame "Flow my tears..." ne peut pas être mauvais. C'est impossible.
Le comics est en vente chez Alapage ou Amazon.fr. Le premier volume est en téléchargement gratuit.
Sur le même sujet lire :
Your Name Here
J'ai un peu de mal avec ce synopsis (trouvé sur cette page).
Je vous le livre dans son intégralité. Avec la réserve de rigueur : tant que nous ne pourrons pas jeter un oeil sur le film fini, nous ne pourrons pas vraiment dépasser le stade de la supposition (ni celui de la crainte).
The greatest science fiction writer in American literary history, William J. Frick (Bill Pullman), is on the verge of an epiphany. Having had a close encounter with God the Almighty in an Anaheim taco stand, Bill is about to finish his masterwork...the epic opus that will detail the relationship between God and Man.Meanwhile, a rather shrill ex-girlfriend (Traci Lords) is clamoring for financial help with their love child; the IRS is clamoring for back pay; and Bill's houseful of speed-freaky bikers, weed-smokers, chocoholics and teenage sci-fi geeks is getting on his nerves.Just as Bill is about to put the finishing touches on his Book of Books, he inhales a strange-colored substance...kinda looks like a cross between coke and purple chalk. And instead of finishing the Book, Bill flips over backwards...and falls down a rabbit hole....into a place where the love-object of his life, up-and-coming movie starlet Nikki (Taryn Manning) is ready and waiting...prepared to turn Bill's philosophy into Action...violently, if necessary!......a place where a sinister emissary of the Nixon White House (M. Emmet Walsh) is willing to apply "aggressive interrogative manoeuvres" upon Bill's flesh to find out what Bill knows about the inner workings of the corridors of power......a place where reality can turn on its head, and Bill can go from Messiah of Fifty States to anonymous shlub in a concentration camp in the literal blink of an eye.In YOUR NAME HERE, sex, drugs, politics, religion, sci-fi, and the tropes of extremely cheesy low-budget genre movies are put in a blender, with generous helpings of psilocybin, No-Doz, and garlic powder added to boost flavor. Chill and stir as needed.
Liens du jour
Une critique du coffret consacré à la série Charlie Jade dont on évoquait la sortie ici est disponible chez dvdrama.com. Incompréhensible et rédhibitoire à mes yeux, la VO n'est pas sous-titrée ! Disponible chez Amazon ou chez Alapage.
La revue DVDvision revient sous une nouvelle forme HDVDvision. Son premier numéro, en 1999, mettait Blade Runner en couverture. La mouture 2008 traitera longuement du coffret DVD. Disponible en souscription ici.
L'objet dickien idiot du jour est en vente chez eBay.
Et vous êtes heureux de le savoir.
Charlie Jade
Tout ce que je sais c'est que cela semble particulièrement dickien et qu'elle est totalement passée hors de portée de mon radar personnel quand elle a été diffusée une première fois.
Maintenant Charlie Jade sort en DVD et j'ai bien envie de l'acheter. Mais comprenez mon problème: je n'ai aucune envie de tomber sur des révélations en me documentant outre mesure. Je sais que la série ne dure qu'une saison et déploie un arc narratif complet. En attendant vos commentaires, voici le descriptif de l'éditeur.
La série est en précommande chez Amazon ou chez Alapage.Charlie Jade, un privé vivant dans le monde futuriste Alphaverse, est sur la piste du meurtrier d'une jeune femme à l'identité inconnue quand l'explosion d'installations dissimulées dans le désert le projette dans un univers parallèle, Betaverse.Découvrant avec horreur dans quel nouvel univers il vit, Charlie Jade fait la connaissance de Karl Lubinsky, un journaliste d'investigation qui soupçonne la multinationale Vexcor, dont le dirigeant est le père du meurtrier présumé, de présenter une version trafiquée des faits. Il pousse Charlie à faire une enquête sur l'origine de la catastrophe ...
Slipstream
Il a écrit, produit et réalisé ce film étrange qui manifestement mérite toute notre attention.
Excellente note chez IMDB. (Ce genre de notes vaut ce qu'il vaut mais cela constitue néanmoins un indicateur intéressant.)
Pour vous convaincre de l'intérêt du film, en voici le résumé donné par Allociné.
Le site officiel est là (juste la bande-annonce en tout petit, la voir en plus gros chez apple.)Felix Bonhoeffer, un scénariste, vit entre deux mondes : le monde réel et celui qu'il a développé dans son esprit au fil du temps. Il n'a pas conscience qu'il vit au bord d'une ligne depuis des années et qu'il est sur le point de la franchir. Il se trouve donc perplexe lorsque, engagé pour remanier l'histoire d'un meurtre situé dans un café désert, des personnages du film qu'il est en train d'écrire apparaissent dans la vie réelle et vice-versa. Et alors qu'il essaye tant bien que mal de vivre sereinement entre ces deux mondes, des références à des chansons et à des films de science fiction des années 1950 se mêlent soudain à son quotidien, sélectionnées de manière aléatoire par sa mémoire...
Si l'ensemble me donne l'impression d'être plus proche de Lynch que de Dick, je dois avouer que c'est l'apparition de Kevin McCarthy qui emporte le morceau et me donne vraiment envie de voir ce film !
Liens !
Le site officiel du Philip K. Dick Trust a été mis à jour avec 38 nouvelles couvertures de livres de PKD.
Future Noir : La nouvelle édition de la bible consacrée à Blade Runner va bientôt sortir. La couverture est superbe. En pré-commande chez Amazon (24,96 €) (Youpi !)
Si l'album de Vangelis (Blade Runner Trilogy dont nous vous parlions là) n'est toujours pas en vente en France...
Groumpf, je sens que ça ne va pas être facile de mettre la main dessus...
Blade Runner : The Final Cut est maintenant en vente en ligne quasiment partout, ou du moins en précommande.
L'image de gauche provient d'Alapage, mais on peut aussi aller chez Amazon ou encore la fnac, c'est partout le même prix. Si par hasard vous trouvez une (très) bonne affaire, n'hésitez pas à faire circuler l'information!
Et comme je sens monter une frénésie d'achat bladerunnerienne chez vous, voici les liens du fameux Métal Hurlant 79 (dont nous parlions ici) : à saisir chez ou chez Abebooks.fr
Quelques liens
- Un article du Monde, "Blade Runner, le mouchard et le collector" (merci à P. V.)
- Le site officiel de Blade Runner a été mis à jour, vous pourrez enfin voir des extraits de la nouvelle version du film... ou attendre sagement la sortie du DVD.
- Et d'ailleurs j'ai trouvé enfin de bien jolies polices.
- Blade Runner : The Final Cut sort au cinéma en Angleterre, en Australie, en Espagne et c'est à peu près tout... cherchez l'erreur !
- Southland Tales ne marche pas vraiment aux U.S.A... Doit-on alors s'en inquiéter ou s'en réjouir ?
- La galerie a été mise à jour. (oui, j'ai mis deux mois pour le faire, on peut attendre au moins autant pour que j'y replonge !)
Comme je n'ai pas le temps de me plonger dans Les Voix de l'asphalte, je culpabilise un brin. Je suis quand même en train de finir un petit bouquin anglais dont je parlerai sous peu.
Southland Tales
En effet, aux U.S.A., les films sortent le vendredi (ceci est l'information capitale du jour qui à elle seule sera le soleil de votre journée.)
On en parle un peu plus d'ici peu, c'est une promesse.
Pour mémoire, le site officiel est ici.
Là c'est le site d'une compagnie imaginaire qui apparaît dans le film. (Le marketing viral est une chose terrible.)
Le dossier de presse en français est téléchargeable.
Et, au fait, le bonhomme sur cette photo est Kevin Smith.
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Have A Nice Apocalypse...
Néanmoins il est possible de commencer dès maintenant la lecture du film. En effet, son auteur, Richard Kelly, a écrit la prequel et l'a publiée sous forme d'une bande dessinée aux Etats-Unis. En un autre mot, l'histoire complète comporte six chapitres, la BD occupe les trois premiers, le film les trois derniers.
Je ne sais pas si cela sera traduit un de ses jours (mais j'ai des doutes là-dessus). En attendant, la bonne surprise est que vous pouvez tout de même vous faire une petite idée de la chose immédiatement !
En effet, le premier chapitre est en ligne, en libre téléchargement, réparti sur plusieurs sites. Cela nous donne, dans l'ordre :
1 - JoBlo.com
2 - MTV.com
3 - UGO.com
4 - Comics2Film
5 - IGN.com
Les trois chapitres ont été publiés séparément et récemment réunis au sein d'un même volume. Il est disponible, par exemple chez Alapage ou Amazon.fr chez amazon.com, ou dans toutes les bonnes librairies spécialisées.
Je vous laisse le temps de lire ça et on en reparle.
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Blade Runner - le jeu vidéo
Ce fut certainement un des rares jeux dont j'ai lu le manuel avant de commencer une partie... pour finir par cliquer comme un malade un peu partout pour le finir et faire la peau à Jory à grands coups d'Ubik.
Par contre la jaquette était superbe, elle orne toujours la rangée du haut d'une de mes bibliothèques (en cachant efficacement le bazar qui est derrière).
Il en est autre chose de Blade Runner produit par Westwood en
Mais le jeu était surtout caractérisé par ses six fins différentes. Selon vos actions en cours de partie vous alliez vous diriger vers une d'entre elle. Alliez-vous vous révéler être un Replicant ou un Blade Runner pur et dur ? En un mot, on avait envie de recommencer afin d'orienter l'histoire dans une branche différente.
J'ai découvert que le titre était classé comme abandonware. C'est-à-dire qu'il n'est plus commercialisé et qu'il est mis à la disposition du public amateur de curiosités (voir la définition et les questions légales que cela pose chez wikipedia).
Ainsi le site planete-aventure.net met les trois CD du jeu à disposition. Je ne l'ai pas testé.
Si vous avez aussi des souvenirs liés à ces deux jeux, les commentaires vous sont ouverts.
Mise à jour : Gilles signale que les quatre CD sont disponibles chez abandonware-france.org.
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Norway of Life
La note IMDB est très bonne (7,5/10). Et pour ne pas gâcher le tout le film semble parfaitement dickien.
Réalisé par Jens Lien, avec Trond Fausa, Aurvag Petronella Barker et Per Schaanning, le film sort en DVD en France aujourd'hui chez TF1 Vidéo: Norway of Life.
La jaquette du DVD français.
En voici le résumé :
Andréas se retrouve dans une ville étrange. Il ignore comment il est arrivé là. On lui remet un emploi, un appartement et même une femme. Très vite, il s'aperçoit pourtant qu'il y a quelque chose qui cloche. Tentant de s'enfuir, il découvre que la ville est sans issue.
Et la bande annonce chez Youtube.
Quelqu'un pour en dire deux mots ?
Southland Tales - interview de Richard Kelly
Elle date de Cannes (mai 2006). Kelly y évoque à plusieurs reprises Philip K. Dick qui constitue manifestement une influence majeure de son travail. Ceux qui ont vu Donnie Darko le savaient déjà ! A lire chez ecranlarge.com.
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Southland Tales
On peut lire quelques critiques sur la première version du film, la cannoise, chez Chronic'art, evene.fr, commeaucinema.com (en profiter pour voir la revue de presse en bas de page).
Pour les plus audacieux, la critique de Pierre Murat, de Télérama (après les 9 premières minutes).
Une compilation de critiques anglo-saxonnes est visible chez Rottentomatoes.
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Southland Tales (2)
Enfin, mince, c'est presque trop énorme.
Dites...
Vous le voyez aussi ? (cliquez sur l'image.)
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Southland Tales
Cela se trouve, en VO, chez Yahoo !
La page du film sur l'IMDB ou chez Allociné.
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Chrysalis
Réalisé par Julien Leclercq, le film sort le 31 octobre en France.
En découvrant la bande-annonce, la volonté esthétisante saute aux yeux. On peut cependant se demander si la somme des influences visibles permettra au film de trouver sa propre identité entre Matrix, Blade Runner et... un film français !
Parce qu'il s'agit de l'assassin de sa femme, David Hoffmann, lieutenant à la police européenne, accepte de reprendre du service pour traquer un dangereux trafiquant soupçonné d'une série de meurtres. Une enquête qui le mènera vers une clinique à la pointe de la technologie, dirigée d'une main de fer par le professeur Brügen. Quand la vérité se loge au coeur du souvenir, la mémoire se révèle un bien précieux, objet de toutes les convoitises. Pourtant, certains souvenirs ne s'effacent jamais...
Le site officiel.