Confessions d'un barjo
Fiche technique
Titre français et original : Confessions d'un Barjo
Réalisation : Jérôme Boivin
Scénario : Jérôme Boivin et Jacques Audiard d'après le roman de Philip K. Dick
Production : Patrick Godeau
Musique : Erik Satie
Pays : France
Durée : 79 minutes
Dates de sortie :
o France : 13 mai 1992
Titre français et original : Confessions d'un Barjo
Réalisation : Jérôme Boivin
Scénario : Jérôme Boivin et Jacques Audiard d'après le roman de Philip K. Dick
Production : Patrick Godeau
Musique : Erik Satie
Pays : France
Durée : 79 minutes
Dates de sortie :
o France : 13 mai 1992
Distribution
Richard Bohringer
... Charles Leroy
Anne Brochet
... Fanfan
Hippolyte Girardot
... Barjo
Consuelo de Haviland
... Madame Hermelin
Richard Bohringer
... Charles Leroy
Anne Brochet
... Fanfan
Hippolyte Girardot
... Barjo
Consuelo de Haviland
... Madame Hermelin
Renaud Danner
... Michel
Nathalie Boutefeu
... Gwen
Jac Berrocal
... Mage Gerardini
L'adaptation
« Barjo, Barjo, B. A. R. J. O. ».
Le film de Jérôme Boivin représente une gageure : transposer le roman de Philip K. Dick Confessions d’un barjo de la Californie de l’après-guerre vers des Alpes bien contemporaines.
L'adaptation est fidèle cependant. La substance du roman est présente, les changements de narrateurs présents par l'utilisation de la voix off des différents personnages.
Le film fonctionne. Sa bizarrerie assumée en fait même une belle réussite dickienne, certainement parce que les acteurs ne cherchent pas à guider le spectateur vers la dérision mais restent dans l’humour.
À ce titre c’est peut-être la seule adaptation de Dick qui ait véritablement cherché à capturer ce ton dickien glissant progressivement de l’humour au tragique.
« Barjo, Barjo, B. A. R. J. O. ».
Le film de Jérôme Boivin représente une gageure : transposer le roman de Philip K. Dick Confessions d’un barjo de la Californie de l’après-guerre vers des Alpes bien contemporaines.
L'adaptation est fidèle cependant. La substance du roman est présente, les changements de narrateurs présents par l'utilisation de la voix off des différents personnages.
Le film fonctionne. Sa bizarrerie assumée en fait même une belle réussite dickienne, certainement parce que les acteurs ne cherchent pas à guider le spectateur vers la dérision mais restent dans l’humour.
À ce titre c’est peut-être la seule adaptation de Dick qui ait véritablement cherché à capturer ce ton dickien glissant progressivement de l’humour au tragique.
Le saviez-vous ?
- Confessions d'un Barjo aurait pu être le deuxième film français adapté de Philip K. Dick. En effet, Jean-Pierre Gorin avait pris une option sur Ubik.
- Paul Williams (qui était alors l'exécuteur testamentaire de Dick) est dans la foule des figurants lors de la scène de l'incendie.
- Le fait que le film ne soit toujours pas disponible en DVD est un mystère absolu.
- Le barjo du roman se nomme Jack Isidore.
- Confessions d'un Barjo aurait pu être le deuxième film français adapté de Philip K. Dick. En effet, Jean-Pierre Gorin avait pris une option sur Ubik.
- Paul Williams (qui était alors l'exécuteur testamentaire de Dick) est dans la foule des figurants lors de la scène de l'incendie.
- Le fait que le film ne soit toujours pas disponible en DVD est un mystère absolu.
- Le barjo du roman se nomme Jack Isidore.
À vous ! Quel est votre commentaire sur ce film ?