Radio Libre Albemuth: Prélude à la trilogie divine
Quatrième de couverture :
Dans une Amérique où le Mal a triomphé et quadrillée par les milices de Ferris F. Fremont, que faire lorsque, comme Nicholas Brady, ami intime de Philip K. Dick, on reçoit des messages dans son sommeil, et que ces messages en provenance de Dieu — ou des extraterrestres — vous conseillent d'entrer dans la Résistance ? Dénoncer ses amis ? Se livrer aux Amis du Peuple Américain ? Utiliser la maison de disques dans laquelle on travaille pour propager la subversion sous forme de messages subliminaux ? Obéir aveuglément à SIVA au risque de perdre la raison ?
Un roman posthume antérieur à la fameuse trilogie divine qu'il éclaire et nuance. Un texte brut et brutal qui est aussi un document sur le Dick des dernières années.
Explorateur inlassable de mondes schizophrènes, désorganisés et équivoques, Philip K, Dick (1928-1982) n'a cessé d'écrire que la réalité n'est qu'une illusion. Nombre de ses œuvres ont été adaptées au cinéma (Minority Report, Paycheck, Blade Runner, Total Recall).
Dans une Amérique où le Mal a triomphé et quadrillée par les milices de Ferris F. Fremont, que faire lorsque, comme Nicholas Brady, ami intime de Philip K. Dick, on reçoit des messages dans son sommeil, et que ces messages en provenance de Dieu — ou des extraterrestres — vous conseillent d'entrer dans la Résistance ? Dénoncer ses amis ? Se livrer aux Amis du Peuple Américain ? Utiliser la maison de disques dans laquelle on travaille pour propager la subversion sous forme de messages subliminaux ? Obéir aveuglément à SIVA au risque de perdre la raison ?
Un roman posthume antérieur à la fameuse trilogie divine qu'il éclaire et nuance. Un texte brut et brutal qui est aussi un document sur le Dick des dernières années.
Explorateur inlassable de mondes schizophrènes, désorganisés et équivoques, Philip K, Dick (1928-1982) n'a cessé d'écrire que la réalité n'est qu'une illusion. Nombre de ses œuvres ont été adaptées au cinéma (Minority Report, Paycheck, Blade Runner, Total Recall).
Traduction de Emmanuel Jouanne