Au bout du labyrinthe
Quatrième de couverture :
Philip K. Dick, né en 1928, est sans doute l'un des écrivains américains les plus originaux de ce temps.
Il excelle à introduire par petites touches l'incertitude dans des mondes apparemment banaux et finit par faire douter de la raison.
Lors de la parution d'Ubik, son précédent roman, Jacques Goimard a rapproché, dans « Le Monde », l'oeuvre de Dick de celle de William Burroughs, en avouant sa préférence pour la première.
Lire Au bout du labyrinthe, c'est faire — sans risque — l'expérience de la psychose, c'est s'aventurer très loin dans les univers mystérieux et parfois sinistres des « voyages » au L.S.D.
Philip K. Dick, né en 1928, est sans doute l'un des écrivains américains les plus originaux de ce temps.
Il excelle à introduire par petites touches l'incertitude dans des mondes apparemment banaux et finit par faire douter de la raison.
Lors de la parution d'Ubik, son précédent roman, Jacques Goimard a rapproché, dans « Le Monde », l'oeuvre de Dick de celle de William Burroughs, en avouant sa préférence pour la première.
Lire Au bout du labyrinthe, c'est faire — sans risque — l'expérience de la psychose, c'est s'aventurer très loin dans les univers mystérieux et parfois sinistres des « voyages » au L.S.D.
Traduction de Alain Dorémieux